Chapter 240
Chapter 240
Chapitre 240
– Ah.
Ludovic a souri avec embarras et dit Content provided by NôvelDrama.Org.
– En effet, il faut être bien discret lorsqu’il s’agit de l’investissement. Je dois d’abord connaitre la situation de votre entreprise afin de distinguer si elle mérite l’investissement Si oui, je dois décider la somme et savoir quand je peux faire des profit. C’est après ça que je peux vous donner la réponse…
Mme Xavier savait bien dans son coeur que le Groupe Xavier était en désordre pour l’instant. Si l’on apprenait sa situation réelle, personne n’y investirait des capitaux.
Pourquoi investir dans cette entreprise ? Ca n’apporterait rien. Depuis que le Groupe Roi a cessé de coopérer avec le Groupe Xavier, tout le monde n’a plus attaché l’importance à leur entreprise.
D’aurant plus que leur société fasse les travaux de rénovation, si personne ne lui donnait aucune commande, on n’avait rien à faire. De ce fait, normalement personne ne venait y investir des capitaux, sauf les cons qui ne savaient comment dépenser son argent.
Néanmoins, il était apparent que Ludovic ne les aide pas gratuitement. Il fallait lui donner assez de récompenses en échange de son aide.
Mme Xavier a fait une réflexion et puis a dit à Ludovic:
– Alors, M. Ludovic, comme vous êtes venu ici et que votre père et mon mari sont amis, je pense que nous devons nous connaître plus et nous fréquenter. Donc, si vous habitiez chez nous pendant quelques jours ? Vous êtes d’accord ?
Ludovic le désirait mais il a demandé :
– Je suis un étranger, il n’est pas bien de demeurer chez vous, non ? Après tout, Mlle Vivian ne s’est pas mariée… Ludovic, rusé comme un renard, connaissait parfaitement sa propre motivation. Donc, il a fait beaucoup d’attention à sa façon de parler.
S’il a directement demandé si Vivian habitait chez eux, tout le monde connaitrait son dessein. Mais s’il a demandé si cela avait du mauvais impact sur Vivian, ce serait différent. Si Mme Xavier a dit qu’il n’y avait pas d’impact, il refuserait son conseil
Si elle a dit : «rassurez-vous, nous sommes de notre famille. Vous n’influencerez pas Vivian. », cela montrait que Vivian habitez aussi ici. Alors il pourrait y consentir.
Mme Xavier était aussi intelligente. Elle a appris l’intention de Ludovic.
La raison pour laquelle elle l’avait invité à habiter dans leur maison pendant quelques jours était qu’elle avait envie de persuader Vivian de se familiariser avec Ludovic.
Elle a fait un bon calcul. De cette façon, Ludovic promettrait sans aucun doute d’investir des capitaux dans les Xavier.
Après tout, non seulement Ludovic était le président d’un groupe coté en Bourse, mais aussi il représentait un personnage de statut favorable qui soutenait les Xavier. A ce moment-là, les Xavier seraient à même de se retrouver en prospérité !
Donc, elle a dit en souriant :
– Rassurez-vous, M. Ludovic. Vivian est très sage. Elle sera bien heureuse que vous habitiez chez nous. D’ailleurs, bien qu’un peu vieux, notre domicile est de toute façon une villa Personne ne trouve que vous habitez ici.
Ludovic était content de sa réponse. Il a hoché la tête et dit :
– Alors je vous remercie par avance ! Comme il se trouve que j’ai des affaires à faire à Cité J ces jours- ci, j’aurai plus de temps de vous demander la situation de votre entreprise pour prendre l’investissement en considération.
– Bon!
Mme Xavier s’est excitée et a dit en souriant:
– C’est parfait. Alors je vais demander d’arranger la chambre d’amis.
Puis, elle a baissé la voix:
– M. Ludovic, pour vous dire la vérité, votre chambre est en face de celle de Vivian. Si vous avez des besoins, vous pourrez la chercher
Ludovic était extrêmement ému.
Très bien !
Cette vielle dame était gentille !
Encore qu’il soit riche et ne manque pas de maitresses, il serait facile d’être découvert par sa femme s’il faisait l’amour denors.
Mais, s’il habitait chez les Xavier et qu’il baise Vivian, il n’aurait pas ce souci.
Après tout, aux yeux de sa femme, c’était sa famille du même clan. Et lui, il est venu pour réaliser les dernières volontés de son père. Donc, elle ne le soupçonnerait pas.
C’était une parfaite opportunité pour courir le guilledou !